* petit deux “voyager sans hésiter”
Je n’ai pas présenté l’espace cocon qui n’est pas terminé, ceci explique. Mais les lignes se chevauchent et mes journées se nourrissent d’informations pratiques, anecdotiques, culturelles, essentielles…
Sur le Japon d’abord. Un rêve d’ado qui se matérialise avant mes 25 ans, mi-fin-mai c’est bientôt et pas encore organisé. J’ai le vol sec et une liste d’idées, glanées sur les blogs, forums, amis s’y connaissant, encore à compléter, à mettre en ordre et en agenda… Mon vieux livre de langue nippone s’est perdu chez celui qui m’accompagne, je réviserai les bases en ligne… Tout cela donne un peu de peur, le Japon c’est un trip qu’on se prend six mois à l’avance, le temps de s’immerger dans toutes les mines d’informations, de bâtir doucement sa route, c’est ce que je croyais. Puis bam ça tombe un mois avant le décollage, j’approuve ça met en mouvement les neurones et les yeux qui brilleront… Mais je n’ai pas encore bien intériorisé, je n’y crois pas vraiment… Tokyo, le vertige… Et cette nuit je cauchemardais encore Paris en parc d’attraction-horreur, tournant en rond dans des ruelles maya pour trouver St Lazare et le piano graal.
Aaah, et faudra vraiment que je fasse un article cocon. Avec le piano blanc acquis le même jour que l’aller-retour Paris-bout du monde.
Et avec une escale à Moscou, courte, mais par principe je jubile d’avance, d’être seule et presque perdue dans un aéroport russe.
Et après le retour il y aura sans doute Rome, pas en escale mais quelques jours, c’est là que mènent les routes de mon titre, qui ressemble à une question du burger quizz, bref je divague.
Je n’écris pas ici pour donner des nouvelles à ceux qui lisent, ce serait se mentir que de penser qu’on attend que j’écrive, bien que les échanges s’apprécient cette place reste intime. L’anarchie du rythme des posts vient donc surtout de. J’ouvre une page blanche catégorie humeurs quand j’ai besoin de me donner de propres nouvelles. Quand j’ai besoin de faire un point quand les lignes se chevau s’entrechoquent. Quand mon agenda-bible ne suffit plus à la mémoire…
(A tout bientôt)