Attention : ce film peut provoquer quelques jours après visionnage, des rêves façon thriller politico-écono-épidémique. C’est ainsi que cette nuit j’étais coincée dans un ascenseur aux parois serrantes, avec mon espion associé qui changeait de tête à tous les étages. Nous étions sûrs que derrière une des portes se trouverait la vérité, soit un élu et sa secrétaire ayant lancé ce sale virus dans les rues de Québec. On n’était pas loin de tout révéler, fallait qu’un réveil sonne et abrège cette nuit à se battre et retourner la couette.
Le film ? Ahem. Rien à voir. “Une femme se tourne vers les médicaments pour gérer son anxiété en lien avec la sortie de prison de son mari.” Le synopsis SensCritique est des plus brefs, mais faut-il en dire plus ? Pas de bonds sur le siège, pas d’angoisse, une enquête psychiatrique et manipulatrice bien tournée, mais pas non plus subjuguant pour qui prend du recul. Mais pas mal, pas mal. Vous aurez même le droit d’embrasser Catherine Zeta-Jones…!
Le soleil et les sorties m’éloignent des grands écrans, + si j’attends un film renversant pour écrire quelques mots ce blog va déserter. Donc. Effets secondaires. Pas si mal, pas si mal…
Article publié pour la première fois sur un blog parallèle, rapatrié lors de l’été 2014.