Indiscretions et mutineries

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Les Lille-Paris-Lille s’accumulent. Trop ou pas assez. Je m’y sens bien, dans son musée des bonheurs. Là, j’ose. Doucement mais plus que jamais. Parce qu’à vingt ans on a encore trop de premières fois à vivre. “Tant de choses à apprendre”.

J’écris décousu comme mes idées. J’ai peur d’admettre que je sais ce que je veux*. Parce que j’ai peur d’y croire. Peur de l’envahir. Je me retiens. Les débuts sont fragiles, non? Et mes défauts sont flagrants, quotidiens. Certains font partie de la retenue, d’autres sont correctibles. Mais. J’ai confiance en lui, pas en moi. Et la confiance, ça ne se travaille pas.

L’expérience TGV, à jeûn, après deux heures de sommeil, le dimanche matin, n’est pas des plus agréables. Et mêlée au manque qui s’éveille, à la conscience de s’éloigner à 300 à l’heure. J’apprends à haïr les trains.

*un lapsus de crayon m’avait fait écrire “que je sais ce que je Peux”

Article sélectionné et importé des archives de mes anciens blogs, brut et sans commentaire.

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