j’avais oublié cette ivresse-là, celle quand on se dépasse, quand l’oxygène n’a plus le temps de. On oublie les sensations, on se rappelle juste des mélodies. Les sons étouffés sous l’eau.
J’avais aussi oublié, que je ne devais pas lire Rimbaud. Parce que c’est aussi sa faute tout ça.
Article sélectionné et importé des archives de mes anciens blogs, brut et sans commentaire.