Les brouillons se cumulent, pas même sur l’écran, à peine dans ma tête. Des sursauts d’idées qui s’accrochent à l’envie comme au bord d’une falaise.
Que faisait-on du temps pour soi ?
Quand on avait le rythme de son choix, avant, avant d’être employée double et de faire des semaines aux heures incomptables. Avant d’avoir le privilège d’être soi mais à deux, si bien qu’on oublie de l’écrire. J’ai oublié comment je décorais mes journées. J’oublie chaque jour d’écrire.
Serait-il temps de trouver un rythme plus doux, avec des moments pour ici ?
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