Il est difficile d’écrire sans rythme sans faire de bilans : les films illimités, les projets de l’année, des brouillons qui s’enfilent et février nous a déjà croqué. On peut aussi faire de si rien n’était, donne des nouvelles d’hier comme on se croiserait. C’est classique dans les blogs de faillir dans le temps, là, c’est un prolongement qui tarde à se poser. Vaut mieux se frayer les ailes en chemin : bientôt des nouvelles de demain.
L’oeil dans les blancs
février 20, 2014 | 0 Commentaires