Thé au lait, pain d’épice, shorty, machine en boucle et les kit kat sakura-matcha qui vibrent dessus quand ça remue tout le studio. La dévastation causée par l’absence et le déballage express des deux valises nippones pour n’en faire qu’une à Rome commence à s’estomper. Machines en boucles. Accumulation de poussière dans tous les coins. Frigo vide. Trente-deux gigas de souvenirs à trier, plus tous ceux qui sont seulement dans la tête. Même que je retourne au ciné, même que l’accueil lillois fut des plus chaleureux, même que ça fait du bien d’être juste chez soi, même si j’ai peur du contrecoup. Retour ici en pointillés, le temps de tout ranger, de griffonner des billets étrangers : l’envie d’écrire est on ne peut plus criante. L’envie de prévoir le prochain avion aussi.
Atterrissage
juin 10, 2013 | 0 Commentaires