Je n’aurais pas cru en faire une série, qu’il soit courant qu’un acteur ait deux films à l’affiche en même temps, que sans faire exprès j’aille voir les deux, et tant qu’à faire deux soirs consécutifs…
Dès le premier film j’étais un peu gênée, Nicholas Hoult a un visage trop particulier, difficile à aimer, pas seulement par le fait d’être grimé en zombie dans Warm Bodies : Renaissance. Le film lui n’avait rien de particulier, histoire romantique entre une humaine et un mort-vivant, la romance peut sauver le monde, l’amour redonne l’espoir : c’est mignon mais pour accrocher à ce genre d’histoire faut fondre un minimum devant les beaux yeux du garçon, ou de la fille, s’identifier et… non, trop particulier.
Faudra même plus que deux films pour s’habituer. Quand le lendemain, devant les premières images de Jack le chasseur de géants j’ai pensé : “oh non pas possible, c’est le même qu’hier ou je rêve ?!”, j’ai su que ça m’abîmerait le film. La princesse aussi, Eleanor Tomlinson, avait un visage fantastique, dans le sens film fantastique. C’était parfait, mais derrière mes lunettes 3D j’ai manqué quelques scènes, pour rêvasser car il était bien tard et mes yeux ont du mal à faire la mise au point, et puis c’est toujours les gentils qui gagnent, même si je n’ai pas vraiment vu la fin…
Article publié pour la première fois sur un blog parallèle, rapatrié lors de l’été 2014.