La brouille est dans nos gènes. On se tourne, se foudroie, se trompe et s’échappera.
L’instabilité reine. Je multiplie les droits, de se connaître, de se valser, de s’égosiller. De se briser sur la voie.
Vous me faîtes des avances, je rembobine, je freine. Comment vous échapper encore cette fois ? On s’autorise, s’embrase, s’entrelace et après ? N’est-on pas programmés pour au matin parvenu s’oublier ? C’est bien ce qu’on verra quand on se réveillera.