Indiscretions et mutineries

version 2 ~golden hour

Ce soir même ma montre s’est arrêtée

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Fatigue intense façon état d’hypnose, je la retrouve comme une vieille amie. Tombant debout toutes les minutes en attendant le train, tombant assise à l’intérieur, les yeux perdus face à l’écran toute la journée. J’impatiente le retour. Du soir et celui à ma vie anormale.

L’épuisement ouvre une porte entre le conscient et l’inconscient, grâce à laquelle : j’assimile tout, j’écris n’importe quoi, j’analyse, je créativise. Je respire. L’épuisement donne l’abolition des limites, de l’autorisé, des œillères ou des ornières. C’est comme on veut.

Je cherche, dans le dictionnaire des nouveaux mots à aimer pour élargir l’étendue du possible.

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