Les rues de Lille, le samedi soir, offrent bonbons et fantômes à mes yeux. Egarés dans un concert très très privé, ou un village coloré, j’aurais peut-être préféré aller “s’aimer sur les dancefloors du quartier solfé’ “. Retour à la maison crevés, dans les deux sens. Waouh.
Article sélectionné et importé des archives de mes anciens blogs, brut et sans commentaire.